Coronavirus bleu

Medesis : Des nanoémulsions de NanoManganese® contre le Covid-19

Medesis Pharma propose ses nanoémulsions de NanoManganese® pour traiter le Covid-19

La technologie de microemulsion de Medesis permet d’encapsuler du manganèse pour le délivrer en intra-cellulaire à très faible dose et déclencher ainsi l’activité de défense des cellules contre l’agression virale et ses graves conséquences inflammatoires

Montpellier, Baillargues, le 26 mars 2020 – Medesis Pharma annonce aujourd’hui que sa technologie brevetée à base de nano-micelles d’eau peut avoir une application directe contre le Covid-19. En effet il s’agit de délivrer directement des principes actifs dans l’organisme au niveau intracellulaire, avec un mécanisme de type « cheval de Troie ». Cette technologie peut donc servir à administrer en intracellulaire du NanoManganese®, dont les effets sont connus pour stimuler l’activité de défense virale de la cellule.

Le traitement des formes graves de l’infection au Covid-19 par une stimulation de la MnSOD

Medesis Pharma développe un médicament de radioprotection pour le traitement des personnes irradiés après un accident nucléaire civil ou militaire (dénomination NP02- NanoManganese®) et souffrant d’inflammations pulmonaires
On constate une similitude des lésions inflammatoires pulmonaires majeures observées dans les deux pathologies déclenchées l’une par le coronavirus Cov-2 et l’autre par une irradiation nucléaire. Elles sont liées à une réaction auto immune excessive. Cette similitude autorise la très vraisemblable hypothèse que le produit NanoManganese® peut permettre de traiter et prévenir les formes graves de pneumonie et les insuffisances respiratoires observées dans le COVID-19 en restaurant l’activité MnSOD intracellulaire. La MnSOD (Manganèse Superoxide Dismutase) est une protéine qui joue un rôle majeur dans chaque cellule contre le stress oxydatif, les rayonnements ionisants, les cytokines inflammatoires et évite la mort cellulaire.

Des études précliniques ont été menées en collaboration avec l’Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA) en France. (Rapports d’études disponibles)
Elles ont été menées sur des animaux irradiés, avec des résultats très favorables permettant une survie de tous les animaux lors d’une irradiation à une dose DL50 (50% des animaux meurent dans les 10 jours).

Avantage du développement clinique du NanoManganese®

L’actif est le sulfate de manganèse (MnSO4). Il est formulé dans la microémulsion Aonys®
La dose active chez la souris est de 0,5 mg/kg/jour
La conversion pour une dose humaine adulte est de 2,43 mg/jour
La dose proposée en thérapeutique chez l’homme sera de 4 mg/jour (4 ml/jour en deux fois 2 ml)
Administration avec un pulvérisateur buccal, le produit est muco-adhésif et n’est pas avalé.

Toxicologie

La toxicité du sulfate de manganèse est bien connue et est de 1 g/kg en intraveineux. Donc aucune toxicité de l’actif n’est envisageable (250 fois moins).
La microémulsion est constituée de lipides SAFE (US), et deux études de toxicologie 3 mois rats/chiens ont été menées sans aucune toxicité. Deux phases 1 ont été menées avec d’autres actifs (sulfate de vanadium et citrate de lithium) en France et en Espagne.
Une étude de phase 2 sur des malades Alzheimer est en préparation sur les CHU de Montpellier et de Toulouse.

Planning du développement clinique possible pour des indications de Covid-19

L’absence de toxicité du produit, la très vraisemblable efficacité sur les formes graves du COVID-19, la simplicité d’utilisation (flacon airless de 50 ml, conservé à température ambiante, avec un dépôt sur la muqueuse buccale par des pressions sur l’embout du flacon), une relative facilité de mise en œuvre ( tous les composants du produit sont disponibles), une expérience de fabrication GMP analogue avec le sel de lithium, ainsi qu’un prix de revient industriel assez faible permettent une mise en œuvre rapide.
Une première étude de validation est en préparation, menée sur 120 patients présentant des formes modérées à graves traités dès l’hospitalisation, avec une durée de traitement de l’ordre de 10 jours.

Des nano-émulsions pour la délivrance directe de principes actifs

Medesis Pharma dispose d’une technologie brevetée à base de nano-micelles eau/huile utilisées pour délivrer directement des principes actifs dans l’organisme au niveau intracellulaire, avec un mécanisme de type « cheval de Troie ». Le produit est déposé dans la bouche, se structure en lipoprotéines HDL lors de l’absorption à travers la muqueuse buccale, est transporté par ces lipoprotéines HDL, puis délivré directement dans le cytoplasme des cellules de tout l’organisme par les récepteurs des lipoprotéines HDL.
Cette technologie peut notamment servir pour des médicaments visant à protéger les populations des retombées d’un accident nucléaire, civil ou militaire. Elle a aussi de nombreuses applications dans le domaine du drug delivery pour des maladies neurodégénératives (Alzheimer, Huntington) ou le diabète de type 2, ou encore pour délivrer des siRNA (petits ARN interférents) dans les cancers résistants ou pour inhiber des protéines du génome des virus en empêchant leurs duplications intracellulaires.

Gravité des infections au Covid-19

Des éléments de plus en plus concordants suggèrent que beaucoup de formes graves présentent un orage cytokinique à l’origine des manifestations inflammatoires majeures pulmonaires, mais aussi digestives.
Un choc cytokinique (cytokine storm) ou orage de cytokines ou syndrome de libération des cytokines désigne un phénomène de production anormale, excessive et autoentretenue de cytokines inflammatoires dans l’organisme.
Cette réponse immunitaire de l’hôte, induite par un déclencheur inflammatoire et systémique est dérégulée, anormalement vive, inadaptée et nocive (généralement mortelle sans traitement approprié en réanimation).
La tempête de cytokines explique vraisemblablement la majeure partie des décès dus à COVID-19.
Le choc cytokinique sévère est rare, hormis lors de certaines épidémies ou pandémies à virus émergents.
Typiquement il touche des adultes dans la force de l’âge, alors que les enfants dont le système immunitaire est encore immature, et les personnes âgées dont l’immunité est affaiblie, sont plutôt épargnées, voire asymptomatiques.
Il a probablement été la cause d’une grande partie des décès rapides et brutaux lors de la pandémie de grippe de 1918-1920 qui tua un nombre disproportionné d’adultes.
La grippe aviaire H5N1 a aussi déclenché des chocs cytokiniques, de même que les épidémies à coronavirus SRAS en 2003 et le MERS.

Rôle de la MnSOD dans la réponse immunitaire lors d’une maladie virale aiguë

La Superoxide Dismutase 2, mitochondriale (SOD2), également appelée Superoxide Dismutase dépendante du manganèse (MnSOD).
La Manganèse Superoxide Dismutase transforme le Superoxide toxique, un sous-produit de la chaîne de transport électronique mitochondriale, en peroxyde d’hydrogène et oxygène diatomique.
Cette fonction permet à la MnSOD d’éliminer les espèces réactives de l’oxygène mitochondrial (ROS) et, par conséquent, confère une protection contre la mort cellulaire. En conséquence, cette protéine joue un rôle anti apoptotique contre le stress oxydatif, les rayonnements ionisants et les cytokines inflammatoires.
De nombreuses publications montrent dans certaines pathologies virales aigues, un effet inhibiteur du virus sur l’expression de la MnSOD lui permettant de se multiplier dans les cellules. Cette déplétion intracellulaire de la MnSOD favorise un emballement du système immunitaire et l’apparition d’un orage de cytokines inflammatoires.
Le coronavirus responsable de la pandémie COVID-19 est bien à l’origine de cette situation.

Les lésions observées lors des pneumonies liées au COVID-19 sont dues dans un premier temps au virus, puis dans un deuxième temps à la réaction auto-immune en réponse à l’infection virale. Il apparait que cette réaction excessive du système immunitaire conduit à une inflammation majeure des poumons, mais aussi souvent du tube digestif et de la moelle osseuse.
https://www.the-scientist.com/news-opinion/why-some-covid-19-cases-are-worse-than-others-67160

Mécanisme d’action du NanoManganese®

Les effets thérapeutiques observés sont parfaitement comparables à ceux observés expérimentalement avec la Manganèse Superoxide Dismutase (MnSOD).
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11966323
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14565825
L’activité thérapeutique observée dans toutes les études réalisées avec l’IRBA est une activité MnSOD « like ». A ce stade, nous ignorons la mécanistique exacte : stimulation de l’activité mitochondriale de la MnSOD ou activité directe du Mn délivré directement dans le cytoplasme des cellules.

Une copie des articles scientifiques peut être obtenue par simple demande à gilles.petitot@acorelis.com

A propos de Medesis Pharma :

MEDESIS PHARMA dispose d’une plate-forme technologique innovante pour l’administration de médicaments (Aonys®, 7 brevets internationaux, un système de micelles inverses (eau dans huile), inférieures à 5 nm, qui permet l’administration d’oligonucléotides non modifiés dans une nanoémulsion par voie orale (chez l’homme), voie buccale et rectale (chez l’animal), avec un transport protégé dans le sang dans des lipoprotéines de type HDL, puis libérées directement au niveau intracellulaire par les récepteurs des lipoprotéines présentes sur toutes les cellules de tous les tissus, avec passage de la barrière hémato-encéphalique.
L’efficacité de la technologie Aonys® pour la délivrance de siRNA non modifiés a été démontrée en pharmacocinétique avec un siRNA marqué au P32, dans l’inhibition de la protéine prion dans le cerveau sur des rats (publication S. Lehmann, PLoS One vol. 9, Issue 2) ; et en inhibant la croissance tumorale avec un siRNA non modifié formulé dans Aonys® ciblant la cycline D1 (publication en cours).
MEDESIS PHARMA a plusieurs programmes en développement utilisant la technologie Aonys®:
• Nanolithium® qui rentre en phase 2 sur des malades pour le traitement des Psychoses associées à la Maladie d’Alzheimer
• Un produit qui entre en phase 1/2 clinique pour le traitement de la maladie de Huntington (NanosiRNA® HD)
• Trois produits en développement pour le traitement de larges populations contaminées après un accident nucléaire . Ces produits sont basés sur des nano émulsions avec des actifs différents (CaDTPA pour la décorporation du Plutonium, Bleu de Prusse pour la décorporation du Césium et sulfate de Manganèse pour la radioprotection).
• Un programme de recherche était déjà initié pour le traitement des maladies virales graves (pneumovirus, Dengue, variole…) lorsqu’est apparu le Covid-19
• Un programme collaboratif avec des équipes académiques de l’Université McGill à Montréal pour le traitement des cancers du sein résistants en ARN interférence.
Plus d’information sur www.medesispharma.com

Contact médias :
Agence Acorelis – Gilles Petitot
01 45 83 13 84 – 06 20 27 65 94 – gilles.petitot@acorelis.com
Contact autorités de santé et partenaires industriels :
Jean-Claude Maurel : jc-maurel@medesispharma.com

American Journal of Transplantation

First-in-human use of a marine oxygen carrier : A safety study

First-in-human use of a marine oxygen carrier (M101) for organ preservation: A safety and proof-of-principle study

The medical device M101 is an extracellular hemoglobin featuring high oxygen-carrying capabilities. Preclinical studies demonstrated its safety as an additive to organ preservation solutions and its beneficial effect on ischemia/reperfusion injuries. OXYgen carrier for Organ Preservation (OXYOP) is a multicenter open-label study evaluating for the first time the safety of M101 added (1 g/L) to the preservation solution of one of two kidneys from the same donor. All adverse events (AEs) were analyzed by an independent data and safety monitoring board. Among the 58 donors, 38% were extended criteria donors. Grafts were preserved in cold storage (64%) or machine perfusion (36%) with a mean cold ischemia time (CIT) of 740 minutes. At 3 months, 490 AEs (41 serious) were reported, including two graft losses and two acute rejections (3.4%). No immunological, allergic, or prothrombotic effects were reported. Preimplantation and 3-month biopsies did not show thrombosis or altered microcirculation. Secondary efficacy end points showed less delayed graft function (DGF) and better renal function in the M101 group than in the contralateral kidneys. In the subgroup of grafts preserved in cold storage, Kaplan-Meier survival and Cox regression analysis showed beneficial effects on DGF independent of CIT (P = .048). This study confirms that M101 is safe and shows promising efficacy data.
KEYWORDS : clinical research/practice, clinical trial, delayed graft function (DGF), ischemia reperfusion injury (IRI), kidney transplantation/nephrology, organ transplantation in general

Retrouvez tout l’article à télécharger sur ce lien 

 

Yannick Le Meur1,2  | Lionel Badet3 | Marie Essig4 | Antoine Thierry5 | Matthias Büchler6 | Sarah Drouin7 | Charles Deruelle8 | Emmanuel Morelon9 | Francis Pesteil10 | Pierre-Olivier Delpech11 | Jean-Michel Boutin12 | Felix Renard1 | Benoit Barrou7
1Department of Nephrology, CHU de Brest, Brest, France, 2UMR1227, Lymphocytes B et Autoimmunité, Université de Brest, Inserm, Labex IGO, Brest, France 3Department of Urology and Transplant Surgery, Hôpital Edouard-Herriot, Hospices Civils de Lyon, Lyon, France 4Department of Nephrology and Renal Transplantation, CHU de Limoges, Limoges, France 5Department of Nephrology, CHU de Poitiers, Poitiers, France 6Department of Nephrology and Clinical immunology, CHU de Tours, Tours, France 7Département D’urologie, Néphrologie et Transplantation, Sorbonne Université, Assistance Publique – Hôpitaux de Paris AP-HP, Hôpitaux Universitaires Pitié Salpêtrière – Charles Foix, Paris, France 8Department of Urology, CHU de Brest, Brest, France 9Department of Transplantation, Nephrology and Clinical Immunology, Hôpital Edouard Herriot, Hospices Civils de Lyon, Lyon, France 10Department of Vascular Surgery, CHU de Limoges, Limoges, France 11Department of Urology, CHU de Poitiers, Poitiers, France 12Department of Urology, CHU de Tours, Tours, France
© 2020 The American Society of Transplantation and the American Society of Transplant Surgeons

Capture CoronaVirus

Coronavirus : un ver marin pour aider des patients à respirer

Coronavirus : La molécule d’Hemarina peut sauver des vies en remplaçant les respirateurs artificiels pour oxygéner des patients atteints de Covid-19

« le ver marin pour aider les patients à respirer »

Hemo2Life, est un transporteur universel d’oxygène issu de vers marins,
mis au point par la société de biotechnologie bretonne Hemarina.
Cette molécule pourrait sauver des vies dès à présent à l’heure où les services de réanimation vont être dramatiquement surchargés.

 

Morlaix, Bretagne le 19 mars 2020 – J+3 du Confinement – Hemarina, entreprise de biotechnologie bretonne, est prête à mettre à disposition des autorités sanitaires sa plate-forme technologique et ses 5.000 doses de produits déjà existants pour lutter contre les syndromes les plus graves du Covid-19. Le professeur Laurent Lantieri, chef de service à l’Hôpital Georges Pompidou, presse les autorités d’autoriser le test de la molécule d’Hemarina, qui fixe 40 fois plus l’oxygène que l’hémoglobine humaine

Hemarina a mis au point une molécule qui est un transporteur universel d’oxygène issu des vers marins. Cette molécule, M101, a le potentiel d’être un bon candidat pour traiter le syndrome de détresse respiratoire qui est responsable de la mort par le Covid-19.

En traitant des patients atteints de difficultés respiratoires du fait du Covid-19 avec une molécule qui a une forte capacité oxygénante, on pourrait ainsi soulager très directement et notablement les services de réanimation où le nombre de respirateurs est le principal goulot d’étranglement. De plus ce traitement est simple à mettre en œuvre et ne surcharge donc pas les équipes médicales.

Cette technologie est validée par des dizaines d’articles scientifiques. Elle est déjà testée pour l’oxygénation des greffons avec un succès ainsi que sur des oxygénations du cerveau.  Des essais ont été faits et sont positifs en Chine.

Hemarina a 5.000 doses déjà prêtes qu’elle tient à la disposition des autorités sanitaires. Elle a la capacité d’en produire rapidement environ 30.000. Ce qui pourrait vouloir dire un très grand nombre de vies sauvées. Il s’agit d’aider et de sauver des vies, maintenant !

« Il y a urgence à débloquer les autorisations administratives. Nous avons des produits qui sont cliniquement testés, il faut pouvoir avancer et répondre aux demandes des médecins hospitaliers » s’exclame le Dr Franck Zal, fondateur d’Hemarina qui confirme « Le Président de la République a dit à juste titre « nous sommes en guerre ». Oui, nous entrons dans une phase de médecine de guerre. Les médecins sur le terrain en première ligne en sont tous conscients et, dans ce cas, le principe de risque mesuré et de bénéfice potentiel par rapport aux risques encourus doit primer sur un principe précaution exacerbé qui aboutirait à compter les morts. A un moment donné, soit vous traitez le patient, soit vous le laissez mourir. Notre unique objectif est qu’un maximum de gens puissent bénéficier des traitements possibles afin de réduire la mortalité. »

De nombreux praticiens hospitaliers sont demandeurs d’utiliser cette molécule de manière urgente, l’un des plus en pointe est le Pr Laurent Lantieri, Chef du service de chirurgie reconstructrice à l’Hôpital Européen Georges-Pompidou qui exhorte publiquement le Ministère à tester ce produit au plus vite afin de faire face au pic prévisible de l’épidémie.

En effet, la raison principale de la dangerosité de cette maladie concerne l’incapacité physiologique d’un patient infecté à délivrer de l’oxygène à son organisme, et c’est précisément la fonction de la molécule d’Hemarina, issue des capacités oxygénantes des vers marins.

 

À propos d’Hemarina

Hemarina est une société créée en 2007, dont le siège social est basé à Morlaix (Finistère). La société est spécialisée dans le développement de transporteurs d’oxygène thérapeutiques universels d’origine marine. Hemarina possède une filiale technico commerciale à Boston (Hemarina Inc.), une filiale de production de sa matière première sur l’Ile de Noirmoutier et des bureaux à Paris.

Hemarina développe plusieurs produits pour des applications médicales et industrielles dont :

  • Un additif aux solutions de préservation d’organes : HEMO2life®
  • Un transporteur d’oxygène thérapeutique : HEMOXYCarrier®
  • Un pansement oxygénant : HEMHealing®
  • Un gel oxygénant utilisé dans le domaine dentaire : HEMDental-Care®
  • Un additif aux matériaux de comblement osseux : HEMDental-Regenerativ®
  • Un intrant à la bioproduction industrielle : HEMOXCell®/HEMBoost®

Pour plus d’informations, visitez notre site internet www.hemarina.com

Pour les détails de la safety de la molécule et des essais sur l’homme, voici l’article paru en 2020 dans The American Journal of Transplantation

 

Contact Médias :

Acorelis

Gilles Petitot – gilles.petitot@acorelis.com – Tel : 06 20 27 65 94

Hemarina

Nelly Rolland Tél : 02 98 88 88 23 Mail : nelly.rolland@hemarina.com

Contact médical et scientifique :

Franck Zal – franck.zal@hemarina.com